Avant toute chose, je dois avouer que, comme bon nombre d’analystes (et/ou de frustrés n’ayant pu avoir accès à Google+)  je pensais que Google+ était destiné à l’échec.
Mon point de vue sur la question a bien changé, après deux semaines sur le réseau social blanc. Oui, je l’avoue, bien que je ne sois pas vraiment porté sur les médias sociaux, j’aime bien Google+. En fait, j’aime surtout la possibilité de pouvoir filtrer la réception et l’envoi de mises à jour en fonction de mes intérêts du moment constitue mon intérêt social pour ce réseau. 
Je m’explique : Google+ m’offre la possibilité de filrer le contenu de ma timeline plus en foncion de sujets, d’intérêts, de thématiques qu’en fonction d’entités, des organisations ou des compagnies. En d’autres termes, exit la surcharge d’informations présente sur Facebook et Twitter.
Ainsi, j’ai un cercle ‘technophiles’ orienté jargon technique et actualité technologique, un autre ‘politique’, un autre ‘musique’, un ‘web design’ un autre ‘nourriture’ (parce que les gens adorent parler de ce qu’ils mangent…Soit dit en passant, la nourriture sociale, ou le ‘fooding’ est , à mon avis, la prochaine “évolution” du web social.). Donc lorsque je veux parler geek, je sais à qui m’adresser. Idem si je veux causer musique (par contre, je ne parle jamais de ce que je mange).
C’est peut être là, la force de Google, la fin du spamming social. Espérons que ce réseau va instaurer un paradigme pour les futurs réseaux sociaux 

Jean Luc Houédanou