Fan de football ou pas, on a tous entendu parler de la dernière prouesse d’Achraf Hakimi, le vrai président du syndicat. Apparemment – information sujette à vérification , ce dernier a joué un tour pendable à sa (ex) compagne en mettant ses biens au nom de sa mère.
Quel malin ce Achraf ! Sa compagne ne pourra rien obtenir après leur divorce, mais lui, il aura tout. Un vrai coup du sombrero !

Et parlant de malheur, on a appris avec beaucoup de joie (ou pas. Sérieusement pas. ) que Coco « Biscuit de mer » Emilia a été atteinte de dépression nerveuse – information sujette à vérification, encore une fois. Tout ça à cause de son ex, M. Mvemba, qui avait réussi à l’épouser en se faisant passer pour un diamantaire. Sauf qu’il avait plus de diamants à la tête que dans les poches. On peut dire que Coco a eu une belle surprise en ouvrant le coffre-fort de son cœur !

Mais vraiment, pourquoi sommes-nous obsédés par le malheur d’autrui ? Pourquoi prenons-nous plaisir à voir les autres souffrir ? Peut-être parce que cela nous permet de nous sentir mieux dans notre propre vie. En voyant des personnes qui ont apparemment tout, rencontrer des difficultés, on peut se dire : « Même les célébrités ont des problèmes, donc ce n’est pas si mal que je ne sois pas célèbre et riche. » Cela peut être source de réconfort, même si c’est éphémère.

Mais soyons honnêtes, notre comportement en ligne est parfois déplorable. On se cache derrière nos écrans pour affirmer notre pouvoir et faire tomber les gens de leur piédestal. On oublie que ce sont des êtres humains qui souffrent comme nous. On peut même se réjouir du malheur des gens moins célèbres, juste parce qu’ils ne représentent pas ce qu’on apprécie ou qu’ils nous rappellent des mauvaises expériences.

Mais tout cela ne nous rendra pas heureux à long terme.

Il est temps de prendre conscience de notre comportement en ligne et de faire preuve de plus de bienveillance envers les autres, même s’ils sont célèbres. Après tout, le malheur des autres ne nous apportera pas le bonheur. Mais surtout, après 72 heures, nous serons tous passés à autre chose. Il en va de même pour les personnes que nous moquons.

Mais trêve de longs discours, je préfère laisser King James conclure.